vendredi 30 décembre 2016

LA TERRE PURE






















L'HOMME DE FER
 
Première partie : Cette petite statuette de 24 cm de hauteur pesant 10,6 Kg serait, d'après une équipe de chercheurs (Institut de planètologie de l'Université de Stuttgart, (photo) dirigée par le géologue scientifique Elmar BUCHNER, constituée d'une matière ferreuse riche en nickel (16%) d'origine extraterrestre (Article du Metoritics et Planetary Science du 14 septembre 2012, volume 47, pages 1491-1501). Et pur cause, elle aurait été ciselée et taillée dans un bloc d'Ataxite astéropodique extrait directement d'un fragment d'une météorite métallique qui s'est crashée sur notre planète, il y a environ 18.000 ans, sur le lit du fleuve China à Tanna Tuva (région) entre la frontière de la Mongolie et la Sibérie (Russie). La météorite de Chinga divisée en plusieurs blocs à été trouvé en 1911 et six ans plus tard par différentes excursions menés par des prospecteurs d'or sur l'ensemble du territoire. Sa matière, lorsqu'elle est polie, exhibe un aspect lisse et réfléchissant comme un miroir. Cette intrigante statue, connue sous le nom l'homme de Fer (Iron Man), si son authenticité est reconnue et se révèle exacte, serait d'une valeur inestimable étant la seule et unique sculpture représentant une personne à forme humaine taillée dans une roche appartenant à une autre planète que la nôtre. L'Iron Man aurait été façonner vers le XIème siècle et appartiendrait à la culture-traditionnelle BÖN (bôn-po), une religion chamanique (Shen) et animiste prédominante au Tibet avant l'avènement du Bouddhisme (VIIème siècle) venant de l'Inde. L'homme de fer fut découvert en 1938 lors d'une expédition Nazi en pays tibétain commander par le Hauptsturmführer-ss (capitaine), zoologiste et ethnologue Ernst SCHÄFER (1910-1992), conduite par l'anthropologue Bruno BEGER (1911-2009), soutenue par le Reinchsführer-ss Heinrich Luitpold HIMMLER (1900-1945) chef de la Gestapo (police secrète) et de la SS (Schutzstaffel, échelons de protection) du troisième Reich établit et dirigé par le chancelier et Führer absolue de l'empire germanique de l'État national-socialiste allemand, Adolf HITLER (1889-1945). Le but est d'étudier méthodiquement par prises de mesures anthropométriques et phylogénétiques (dimensions corporelles, pigmentations, céphaliques, crâne cérébral et facial) et d'indices physignomiques (nasal, jugo-mandibulaire, dermatoglyphes digitaux, etc..) sur les populations autochtones des hauts plateaux himalayens, pour identifier rationnellement les preuves biologiques de l'origine commune des Européens (indo), reconnaître dans les vestiges sociologiques du patrimoine biologique des tibétains (t'ou-fan), la survivance des mythes de la tradition de l'antique culture Aryenne (Ârya) qui s'est perdue dans l'occident décadent et plus particulièrement situer le berceau originel (Urheimat) de la race des seigneur (Führerrasse), les Indo-Aryens, source directe, du sang pur qui coule chez la race supérieure du Nord de l'Europe. Au Nord-Est du Tibet, on signale l'existence de sujets indigènes blonds aux yeux bleus descendants du peuple Yue-Tché (scythes indo-européens). L'Ahnenerbe institut (société d'études pour la recherche et l'enseignement intellectuelle du patrimoine ancestral) crée par Himmler et le symboliste germanique Herman WIRTH (1885-1981), présider par l'orientaliste Walther WÜST (1907-1993), nourrit par les différents courants théoriques des thèses idéologiques Pan-germaniste et Völkish, participa au financement avec l'accord du commandant en chef de la Luftwaffe (armée de l'air) Hermann Wilhelm GOERING (1893-1946) appuyé en partie par divers fondations industrielles Allemande. L'intention politique de l'équipée scientifique Nazi en Asie-Centrale, qui réussira à pénétrée le 19 janvier 1939 dans la cité interdite de Lhassa (capitale lamaïque sur la terre des dieux), était fortement influencée par la théorie stratégique et expansionniste de l'espace vital (lebensraum) du géographe et géopoliticien, Karl HAUSHOFER (1869-1946), ainsi que celle de la cosmogonie glaciaire. La statue fut rapportée en Allemagne en 1939. Sa présence à Munich se perd dans une collection privée pour réapparaître en 2009 où elle est vendue aux enchères. Elle serait donc la représentation d'un demi-dieu Bôn-Po ou d'une divinité du genre Nyi-Spang-Sad, déité protectrice de la tradition orale du Zhang-Zhung de la religion Bön (réciter). Son fondateur, le seigneur Töpa (bönteum) Shenrab MIWOCHE (miwo), le souverain lumineux, grand maître Gçen instructeur de tout les prêtres, après avoir illuminé la voie de l'espace sidéral de bénédictions à tous les êtres qui y vivent, descendit du ciel (bardo) sous la substance émanée d'un oiseau (Sîmorgh/Garuda), il ya 18.000 ans, pour s'incarner dans la matière d'un corps humain, le prince Tompa (ston-pa-gçen-rab) de Tazig, une région de l'ancienne Perse située à l'ouest de l'actuel Tibet occidental, dans le pays d'Olmo lungring où se dresse le mont Yungdrung Gutseg (kailash) constituer de neuf Sauwastikas empilées les unes sur les autres, leurs faces tournées vers la gauche indiquent les 9 voie du Bön. Ce centre du monde appelé aussi Shambhala (du roi Indrabhûti) à donner naissance à la première classe sacerdotale secrète des bön-pos. Certains spécialistes pensent que le seigneur Tompa portant le Svastika sur son sceptre (peinture) serait issu de la race des Âryas (nobles), le peuple supérieur qui envahit l'Inde du nord vers le IIème millénaire avant notre ère, les premiers-nés de l'IRAN (érân), le royaume ou pays des Aryens, l'antique Perse. Le grand maître lumineux et victorieux Tönpa Miwo alors conscient de sa mission sacré de perfection universelle, s'absorba illuminé en son état de béatitude éternelle, fusionné dans le cristal primordial compassionnel, communiqua son enseignement (Yândagbai-Sembön) à ses proches disciples sur une période d'une quarantaines d'années. Après l'introduction du bouddhisme, la doctrine du "premier" éveillé historique SHÂKYAMUNI (Siddhârtha Gautama), au Tibet par le roi Srong-Tsam-Po (songten gampo, 611-650, VIIème siècle), le temps du syncrétisme (IX et XIIIème siècles), les préceptes de PADMASAMBHAVA le second bouddha, ceux du maître à la peau rougeâtre Atsarya-Marpo qui forma la première école de tantra Nyingmapa (Mahâ-Yoga) des bonnets rouges, et celle de l'instruction Yungdrung-Bön qui donna le Bön-Gsar et la prestigieuse voie sacrée inestimable du tantra suprême de la grande perfection (Dzogchen), la voie élevée du Vajrayâna de l'Ati-Yoga soutenue par son original et excellence cosmique l'Àdi Bouddha, Kun-Tu Bzang, constitues éventuellement les premiers courants tantriques les plus puissants de la culture tibétaine qui habilite tous les Boddhisattvas à connaître l'inconditionnée et l'impermanence afin d'accédés pour le bien de tous à la terre pure. Cette statue d'Iron-Man venue de l'espace, il y a 18.000 ans, représenterait' elle le premier seigneur du Tibet, le Tönpa ? Pour d'autres curieux, elle serait une idole personnifiant un guerrier mongol, similaire au terrible conquérant invincible Gengis KHAN (1158-1227), protecteur et père de la nation Mongole, le Tchingghis KHAGAN (koubilaï), empereur et souverain universel de toute l'Asie, de son premier nom Temüdjin (l'acier le plus fin), ou bien, le grand et puissant maître du temple du lotus au royaume de LING, Gesar KHAN (Ge-Sar, geser, 1027), roi et combattant mongol venant d'une des montagnes du Pamir occidental, l'Airyana Vaeja, une des terres des indo-aryens, Gesar le kaiser de l'Arya Varcha (védas) émanation du tout-puissant guerrier historique de Shangri-La (Shambhala) du Vîdêvdat (avesta) persan, métamorphosé, dans son épopée écrite (XIIème siècle), la plus longue du monde (128 volumes), dans la peau d'un héros surhumain en marche sur le chemin suprême (lama lega) du Dhârma de la grande perfection en terre pure.





L'expédition SS de Schaefer au Tibet à Lhassa 1938/1939. Photo de Ernst KRAUSE.

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