L'HOMME DE FER II
Deuxième partie : L'homme de fer possède inscrit sur son plastron de protection de combat (cuirasse-d'acier) un Svastikâ (lévogyre) de face (omote) soit un Sauvastikâ ou simplement une croix-gammée (Hakenkreuz) qui tourne à gauche, un vieux symbole universel représentant le mouvement infini de l'harmonie cosmique (vie) et de sa puissance (Shakti) ou la révolution du soleil (roue de feu) dans les équinoxes saisonnières (4). Ce signe, religieux proto-européens (quatre gammas grec) est associé à une action en rotation dans le ciel autour d'un corps céleste, une comète. En Inde, là où il est le plus marqué, il désigne, et indique selon le Mânava-Dharma-Sâstra, premier texte sanskrit s'exprimant sur le Dharma et ses règles de pureté, révélé par Brahmâ à l'être supérieur Swâyambouva (Manou) de la terre (pure) indo-aryenne (Hapta-Hindus (sindhu), l'appartenance à la caste (pure) des nobles (Ârya-Saras). il personnifie les quatre divisions hiérarchiques, les Varnas (couleurs), de l'organisation substantialiste de la société traditionnelle indienne (Brâhmanâ-blanche, Khâttiya-rouge, Vaiçya-jaune, Shoûdra-noire) mues par le Dharma. Le peuple des purs âryens a donné les Brâhmanes (prêtres), la haute caste supérieure, qui sont les enfants de la langue de Brahmâ, mais aussi les nobles guerriers âryens (Ârya-Khâttiya) où est née Siddhârtha Gautama, le Chakravartin-Chakralâ, souverain aristocrate et universel de la compassion. D'après le texte du Dîghanikâya-Sûtra (âggannâ-sûtra, 27-3), les Brâhmanes qui sont d'une constitution blanche, aspirent naturellement à la purification de leurs êtres. Ceux des castes inférieures, d'une disposition sombre (noire), sont poussées naturellement à l'obscurcissement de leurs êtres. Mais l'éveillé Shâkyamuni transcende graduellement la rétribution biologique-karmique en accomplissant l'infinitude de l'ordre cosmique (Varnâsramadharma) pour devenir le Parâ-Bhamân inexistant en réunissant les deux parties du corps noble (mérite) de l'autorité âryenne (les prêtres-guerriers) par la division de sa noble substance organique (Rûpakâya) en deux segments (Nirmânakâya-Sambhogakâya) élevés dans un corps pur, le Dharma-Kâya, pour le service des combattants âryens du Samsâra. Cela nous apprend que le Dharma est la nature corrigée par la volonté du noble (Âryen-Siddhâçârya-Deha) au corps parfait. Le Svastikâ (du sanskrit : être (asti) supérieur, individu ou existence élevée, bénédiction (salutation à celui qui donne l'abondance et qui conduit à la victoire) symbolise la prospérité en mouvement. Celui qui se place sous son influence, obtient le bien-être puis gagne en fortune. Ce signe se retrouve gravé sur de nombreux talismans (Thokchas) ou apposé sur des divinités placées dans des temples de vénération. Sa signification vers une donnée morale (bien ou mal) selon l'orientation de ses bras du côté droit ou gauche n'a aucun fondement. Le 7 Août 1920, sous l'impulsion du futur Führer (guide) Adolf Hitler, le parti national-socialiste des travailleurs allemands adopte comme signe de ralliement, le drapeau Nazi, constitué par la refondation de l'ancien pavillon de l'empire Allemand du 16 Avril (1871-1919) remodelé, du blanc pour le nationalisme, rouge pour socialisme et en son centre la croix gammée pour l'origine Aryenne de la race nationale. Dans les anciennes tribus scandinaves, le Svastikâ cerclée (dextrogyre) était utilisé comme ornement sur les proues des navires (Drakkar (drekis), Dragon) ou sur les boucliers des guerriers germains. il représentait un soleil radiant, voire le tournoiement du marteau (Mjöllnir) du dieu Thor, produisant les éclairs (Atar) de la foudre du tonnerre. Cet étendard rouge de sang et noir de cendres apposée sur le blanc immaculé de la terre pure par la fureur du caporal à la croix de fer, mit en discrédit l'un des plus anciens symboles de l'humanité. Toujours en Inde au sein de la noble religion (Ârya-Dharma), le Svastikâ (swastika) ou roue de feu est le signe par excellence du dieu (Deva) soleil, Sûrya, père de l'être supérieur Manu le géniteur de la grande race solaire (Varna-Âryenne), pour être vénéré sous l'aspect du Chakra-Sudarshana (purânas), la roue sainte du seigneur Shri Vishnou (Hari) protecteur du cosmos, qu'il détient dans une de ses quatre mains (les quatre Védas-Samhistas des âryens), l'arrière droite, cette arme virevoltante est liée au corps des déités de l'univers et du culte du feu sacré (Agni), le Pâvaka purificateur. Le feu le plus ancien était allumé par les Brâmanes védiques avec un instrument fait de baguettes en bois d'acacia entrecroisées par frottements, ayant la forme d'une croix gammée appelé Aranis. Le Svastikâ est aussi un attribut de Shri Ganesh (Ganapati) le seigneur des catégories, l'éléphant qui danse, distributeur de richesse, puis celui du septième éclairé et conquérant Ârihant (jina) du Jaïnisme indien non-violent (Ahimsa). Vers 1940, l'origine de la race supérieure en Asie-Central fut abandonnée par certains idéologues Nazis, pour concentrées leurs études vers le continent du grand nord polaire (Arctique) à la recherche de l'Hyperborée (Ultima-Thulé), la nation d'Apollon, le dieu grec du soleil et de la purification. Dans ce pays hivernal se lève le soleil de minuit, le Svastikâ rayonnant du peuple des guerriers Âryens (Urvolk) qui envahirent la ville millénaire du nord de l'Inde, Mohenjo-Daro (-1900 ans), un des lits de la grande civilisation de l'Indus sur la plaine Indo-Gangélique, pour y fondés leur grande capitale, l'Âryâvarta. La croix de feu (Ugunskrusts) des Âryas évoque un tourbillon d'énergie (Manji) au Japon où il est utilisé dans de nombreux art-martiaux pour d'écrire les techniques de combat en rapport avec l'activité du Ki (Qi). En Chine, il est un caractère (sinogramme) écrit, le Wan, définition de multitude et d'une image pour la forme d'ascension spirituelle, un Wanz (Falu) dans la discipline du souffle (Qi-Gong). Le Bouddhisme quand à lui, là en grand estime. Le Svastikâ bouddhiste représente en mouvement, la bonne santé, et d'autre part, la vacuité de toute chose (Sûnyatâ), les quatre lois du Dharma (Tchô) ou vérités nobles (Chatvari-Ârya-Satyani) de l'être élevé (Shakyâ-Thub-Pa) ainsi que les quatre royaumes du ravissement (Samâpatti) pour l'obtention de l'état connaissant (Gnose) et surhumain (Uttarimânussadharma). Chez les croyants tibetains, le Svastikâ est un emblème des doctrines tantriques du mahâyâna ésotérique. il a pour origine le dieu et seigneur des hindous (Âryas-Bhârata), Indra, celui qui porte la foudre (Vajrapâni) et son arme absolue, le Vajra (Dorje, pierre noble). Cet outil spirituel d'une puissance redoutable et utilisé lors de pratiques rituelles secrètes du Vajrayâna (voie du diamant) en association avec la cloche féminine (Ghantâ) pour l'application fulgurante de l'union tantrique. Le Svastikâ c'est le double Vajra (Vishva-Vajra) ou double croisé (Viçvavajra) qui matérialise l'attitude active et la détermination d'esprit que doit prendre le noble disciple (Ârya-Sâvaka) sur le chemin du Tathâgata (Satori) ou disposition supérieur de l'être (Moksha), l'héroïsme ultime, le corps océan (Rigpa) du Samyaksambuddha suprême (buddha-Uttama). Les quatre nobles vérités (Ârya-Satyâ) édictées par Sakiyamuni (Hotoke) qui sont exprimées au point de terminaison des rayons du quartette Vajra mettant en mouvement la roue (Dharmaçakra) du Dharma (loi). Les trois premières nobles vérités (Dukkha la souffrance, Samudaya (tanhâ) son origine, Nirodha (nibbâna) sa cessation) sont concentrées dans le moyeu (Gankil) de la sainte roue solaire. Ce triskèle correspond aux rotations (cycles) de l'enseignement éveillé qui assemblé à la quatrième noble vérité (Âryâstangamarga), la voie du milieu (Magga, Anggânga), modèle le Svastikâ qui tourne sur lui-même (le dharma n'a pas de sens) émettant ses huit rayons justes et pures, les parfaites : "compréhension, pensée, parole, action, manière d'existence, volonté, attention, concentration" qui s'unissant à leur tour (Ashtamangala) dans la lumière royale (Rigpa) donnes la jante (Samadhi), c'est le Kaivalya, purifiant par le feu toutes les souillures de l'égo (Kilesa) au-dedans de la noble vision non-différenciative, l'Âryânirvikâlpayatî. Cette roue que l'on peut retrouvée à son origine, toujours chez Shrî Vishnou, à l'emplacement de son sein gauche, finissante par une grande touffe de poils, la représentation d'un ensemble de nœuds (Shrî-Vasta) dit "cher-à-la-fortune" incarne sa quatrième émanation descendante (Avatar), l'énergique homme-lion, l'Âryadeva Narasimhâ, le chakra-Sudarshana précisé plus haut. Cette touffe peut concrétisée dans certains cultes, le feu de la colère divine (Krodha-satî). Le premier avatar suprême de Shrî Vishnou fut un poisson (Matsya) qui sauva l'être-supérieur, Manu, du déluge (Kalpa-Pralaya) universel. Hari est aussi la neuvième incarnation de Shakyâmuni, le grand Mahâsiddha Bouddha du vajayâna. À l'intérieur de certaines visions secrètes, cette roue à poils apparaît fixée entre deux piliers étincelants au centre d'un environnement sphérique et nuageux. Le pilier gauche, verdâtre (Syama), appartenant à la compassion (Karunâ) est enlacé par l'Ârya-Târâ (Dölma), une boudhisattva courroucée (Ekajati, tresse de poils) à la peau noire (Kâlî-Pingalâ), celui de droite, blanchâtre (idâ), constitue la sagesse (Pannâ) étreinte par le Bouddha Amoghasiddhi (le succès garantie), l'un des cinq (Dhyani) aspects émanés du corps pur de l'éveillé. Ces puissances contraires s'accouplent (Yab-Yum) lors du déplacement (Samsara) de la roue pileuse qui s'enflamme vers la terre pure (Bouddhakshetra) où règne Amitâbha le mâle rouge de la lumière infinie uni à son aspect femelle, la Shâkta-Mère, sa parèdre blanche, Pândarâvasinî l'apaisée. Si le chakra-Svastikâ symbolise les quatre bras du seigneur Vishnou, exprimant l'omniprésence de sa grâce infinie sur l'ensemble de l'univers, il "individualise" avant tout l'essence du pouvoir (Shakti), la volonté (Cetanâ) toute puissante (Icchâshakti) du feu libérateur (Mukti), l'Ârya-Dakînî mère de tous les Bouddha nommée Prajnâpâramitâ énergie de tous les Sûtras. C'est l'Ârya-Tridevî réunie avec ses manifestations en Sarasvatî, Laksmî, Pârvatî, parèdres et épouses de la grande trinité (Trimûrtî), la mère (Mata) tournoyante et illusoire de toutes les divinités (Devatâ) colériques, la pureté parfaite, Devî elle-même. S'est donc ce signe féminin et Âryen que l'on retrouve inscrit sur le torse de l'homme de fer dont la tête et le visage aux traits Mongoloïde-sino-tibétains, supportant une coiffe qui rappelle celle d'un haut dignitaire monastique plutôt qu'un casque de combat ou un simple bonnet de toile à forme conique des steppes, aborde une barbe fournie assez rare dans la représentation iconographique d'un Bodhisattva, soutenant à l'oreille droite une boucle en anneau, symbole de richesse et d'autorité impériale, portant attention à la parole des autres, le contraire d'un homme ordinaire (Puthujjana) ignorant. L'iron-man est assis (Upavishtha Sthiti) en posture (Âsana) d'Lâlitasâna ou Mahârâjalîlasana, une attitude d'aisance royale, sur un trône de diamant (Vajrâsana) équivalent au mont Méru, sa main droite ouverte de paume par ses doigts dépliés en direction du sol (Varada-Mudrâ), un geste de don annonçant sa libération par l'éveil (Bodhi), sa gauche porte en son creux un joyau (Chintâmani) qui exauce les vœux du noble disciple (Âryan-Sâvaka) lorsqu'il est dégagé de toute souillure (Arhat) presque parvenu à la libération (Mukti) vers le pur Nibbâna, ou bien, un vase à trésors cachés (Terma-Kalasha (boumpa) qui distribue richesses et prospérités par l'entremise de formules magiques (Dhârani) répétées en mantras. Ce vase Kalasha, un pot à eau sacrée, servant à la "purification" dans certaines cérémonies du Vajrayâna, est l'équivalent du Svadhisthâna-Cakra nombril, tandis que le Swastikâ porté au niveau du plexus-solaire de l'homme de fer désigne le Mani-Pûra-Cakra de feu, et ainsi, le talon de son pied droit : le Mûlâdhâra-Cakra de la terre (Shakti) du Brahmâ, l'être supérieur des nobles guerriers aryens de la terre pure. Le récipient peut prendre la forme d'une grenade (fruit) où mûries les gemmes de la pensée juste (Sammâ-Sankappa) qui mène à la sagesse immortelle. La tête de l'homme en fer est oréolée (Shirashchâkra) ainsi que son corps (Prabhâvali). Ces radiations (nimbes circonférencielles) mystiques indiquent la divinité illuminée du personnage en évoquant l'union de la lune et du soleil, celle de la voie non-duelle (Parâ-Mârga-Dvaita) prit par l'éveillé. L'ensemble des détails spécifiques et la composition de cette œuvre sculptée, incite certains spécialistes à lui donné le nom d'Vaisravana (Jambhala), un Dharmapala gardien et protecteur du Dharma (loi), émanation d'une ancienne divinité Mongole de la guerre (Begtsé). Ce "Bouddha" de l'espace en fer, dont l'origine a été contestée par le Dr Achim Bayer spécialiste en études bouddhiques à l'Université de Dongguk (Séoul) pour la qualifiée de "pseudo-tibétaine" et de contrefaçon en raison du style de pantalon non adéquate qu'il porte (The Gardian du mercredi 24 octobre 2012), serait le Mahâdeva Vaiçravana, un aspect de Kubera, une ancienne divinité locale Dravidienne et Himalayenne de la fertilité (Dhânpati). Ce roi de la richesse, qui lui fut offerte par Shrî Brâhman dans la grande épopée du Mahâbhârata, étendait sa souveraineté sur la célèbre cité perdue d'Alaka (Vasu-Sthali-Visana) qui surplombait le versant principal du Mont Kailash. Sa parèdre se nomme Riddhi (prospérité), une émanation directe de Shrî Deva Lakshnî (Mahâlakshmî), déesse de la fortune (dans l'Agni-Purâna). Ce maître de l'opulence prend divers formes dans le temps, celui de Pâcica (Punchika) un autre Mahâdeva de l'opulence semblable à Dhanapati (Dhânpati). Kubera, est parfois représenté sous la silhouette d'un guerrier armé et cuirassé portant forte barbe et moustache présent lors de la naissance de Gautama Siddhârtha (Lalitavistara-Sûtra). Son émanation principale est donc celle de Vaishravana (Rnam-Thos-Sras), seigneur de la grande écoute, le Namtösé tibétain (Vessavanâ), l'un des quatre rois (Chaturmahârâja, Gyekhèn Dé Shi) gardiens des quatre direction (Lokapalâ) du Monde. il en domine en protecteur sur le Nord contre l'invasion des Yakshas, les génies malfaisants et anthropophages (Asuras) qui habitent les grandes forêts. C'est après l'écoute d'un prêche de Shâkyamuni, qu'il devient gardien de la loi (Dharma). Sa couleur est le jaune et sa bannière de victoire est une mangouste, petit mammifère friand de serpent. Vaishravana c'est aussi Bishamon Tennô (Zôchô Tennô) ou Chaturmahârâ (Shitennô) chez les japonais. Ses trois vassaux aussi terrifiants que lui, sont : 3) Virûpaksha (le mauvais œil) qui garde l'Ouest contre les Nâgas (Nâjas) ou dragons (la haine) souverains de la terre et des eaux. Le roi (Nâgarâja) d'une de ses créatures aurait protégé de la pluie en dépliant ses sept têtes en éventail au-dessus du héros Shâkyamuni qui était alors plongé dans une méditation profonde (Bhâvânâ-Citta de l'Ârya-Tantayana). Sa couleur est rouge, son attribut un Stûpa, l'aptitude noble des vainqueurs. Virûpaksa (Mi-Mi Sang) est guerrier de la connaissance. 2) Virûdhaka (Pha Kye-Po) l'aristocratique de couleur bleu protège le Sud de son épée contre des esprits cruels et volatils (Gandharvas) de la nature secondaire, les musiciens céléstes et gardiens du Sôma, la boisson qui abreuve de puissance la caste des Âryens. 1) Dhritarâshtra (Yulkor-Rung), le blanc remplie de force, défend quand à lui l'Est et règne sur les Kûmbhânda (umbhandhas), des sortes de nains démoniaques et déformés par de gros ventres avident d'énergie humaine. certains se sont transformés en guerriers géants de la terre de l'éveil (Bhûmi) face au sourire serein de Shâkyamuni. L'attribut de Dhrtarastra (Vinarja) est un (Vina-Luth) instrument de musique à cordes symbole de l'art de la perfection. Es Vaishravana statufié, découvert et emporté par, selon-certains, l'entomologiste et cinéaste Ers Hans Ludwig Krause (1859-1942) coéquipier de l'expédition d'Ernst Schäfer de 1938-39 au Tibet ? L'équipe d'explorateur SS en quête de la race supérieure avait aussi rassemblée une multitudes d'objets (négociés ou offerts) provenant de leurs voyages sur le toit du monde, dont le célèbre texte sacré du Tantra de Kâlachakra (la roue du temps), le plus puissant de tout les Tantras Bouddhistes (Parâmadibuddhatantra), incorporer au canon (Kangyur) Tibétain-Lamaïque. La réunion des grands préceptes de la science Âryenne la plus haute, enseigné (-1000 ans) par Shâkyamuni au roi Suchandra (Vajrapâni) du royaume de Shambhala et destinée aux conquérants de demain en route vers la terre blanche. Ainsi s'achève cette petite étude symbolique sur la statuette météoritique pour qu'une autre histoire commence.
Le double Vajrâ (Vishrâ-Vajrâ) avec en son centre le Yantra de l'union.
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